Presse
AU BORD DU REVE
Œuvres de Falla, Aubert, Debussy, Durosoir,
Fabricius, Fauré, Gretchaninov, Grieg, Järnefelt, La Tombelle, Liszt,
Neruda, Popineau, Schmitt, Schubert, Schumann, Strauss, Stravinsky,
Tchaïkovski, Wagner.
Aurélienne Brauner (violoncelle), Lorène de Ratuld (piano)
Paraty. 0 2021. TT :1 h 11'.
Œuvres de Falla, Aubert, Debussy, Durosoir, Fabricius, Fauré, Gretchaninov, Grieg, Järnefelt, La Tombelle, Liszt, Neruda, Popineau, Schmitt, Schubert, Schumann, Strauss, Stravinsky, Tchaïkovski, Wagner.
Aurélienne Brauner (violoncelle), Lorène de Ratuld (piano)
Le florilège conçu par Aurélienne Brauner et Lorène de Ratuld est pour le moins varié : on y trouve, le plus souvent arrangés, des tubes (Rêve d’amour de Liszt), des raretés — par exemple de Fernand de la Tombelle (1854-1928) ou de Jacob Fabricius (1840-1919) — et même une récente Berceuse pour Salvador de François Popineau (né en 1969). L’homogénéité du programme est assurée par son atmosphère tendre ou rêveuse. Les deux interprètes abordent toutes ces pages avec une grande sensibilité : le piano de Lorène de Ratuld, parfois solitaire (magnifique Pièce lyrique op. 54 n° 6 de Grieg, jouée avec une pointe de mystère onirique), crée sans les épaissir les ambiances en demi-teintes sur lesquelles se déploie le chant du violoncelle d’Aurélienne Brauner, qui s’exprime avec une simplicité n’empêchant pas l’éloquence. Si les compilations de bis ou de courtes transcriptions pour violoncelle sont légion, celle-ci se distingue par sa cohérence, sa poésie et l’authentique sérénité qui s’en dégage — on en veut pour seule preuve, entre autres passages aussi calmes que poignants, une admirable lecture de l’Abendlied op. 85 n° 12 de Schumann.
Jérôme Bastianelli
LE MONDE : SELECTIONS ALBUMS Dimanche 17 - Lundi 18 Septembre 2023
AURÉLIENNE BRAUNER / LORÈNE DE RATULD Au bord du rêve
Sélection de pièces brèves de divers compositeurs par Aurélienne Brauner (violoncelle) et Lorène de Ratuld (piano). En réunissant vingt-trois miniatures sur le thème de l’évasion onirique, dont une dizaine de berceuses et une demi-douzaine de rêveries, Aurélienne Brauner et Lorène de Ratuld n’ont pas craint d’engendrer la monotonie. Et elles ont bien fait. Leur disque s’écoute avec un plaisir renouvelé. D’abord, parce que chaque pièce bénéficie d’une interprétation inspirée. Ensuite, parce que les partitions relèvent d’esthétiques très différentes, à l’instar d’une création très « Piazzolla » de François Popineau. Enfin, parce que chaque musicienne dispose d’une large palette d’expressions : Lorène de Ratuld avec un piano qui joue aussi bien les boîtes à musique lilliputiennes que les carrousels XXL, Aurélienne Brauner avec un violoncelle qui chante comme une voix de conte de fées. En outre, le mérite d’un tel parcours est de loger tout le monde à la même enseigne. Il apparaît alors que, dans le registre du divertissement, Debussy n’est pas plus original que Louis Aubert, que Fernand de La Tombelle n’est pas moins lyrique que Gabriel Fauré, et qu’Armas Järnefelt (très populaire en Finlande) vaut bien Franz Liszt (dont le célébrissime Liebestraum ouvre l’album).
PIERRE GERVASONI
1 CD Paraty.
Opus Haute Définition e-magazine 152
Crépuscule — Œuvres pour Violoncelle et Piano
Voici un copieux CD convoquant trois compositeurs français qui, « au tournant du siècle, vivent, avec leur sensibilité propre, les derniers instants d’un romantisme arrivé à son paroxysme ; moment ultime, suspendu, où s’exprime leur science de l’écriture, où leur lyrisme se mêle à leur goût pour le contrepoint, portant la classique forme sonate à une incandescence crépusculaire ». Le programme propose donc la célèbre Sonate pour violon et piano en la mineur de César Franck, transcrite ici pour violoncelle par Jules Delsart, la Sonate pour violoncelle et piano en sol mineur Op.117 de Gabriel Fauré, ainsi que la Sonate pour violoncelle et piano en si mineur Op.27 de Louis Vierne. Le duo Luperca (Aurélienne Brauner, violoncelle et Lorène de Ratuld, piano) offre à ces pages admirables une fougue, une sensibilité, une lumière fervente qui transportent au-delà des notes. Nous comprenons alors mieux leur ambition et leur passion lorsqu’elles déclarent : « Férues de musique française romantique, nous désirions mettre en scène, sous la forme d’un grand triptyque, le passage entre la fin du romantisme et le début de la modernité ». Il ne reste plus qu’à savourer sans retenue ce brillant voyage musical.
Jean-Jacques Millo
POINT DE VUE
ONBA (CONCERT SYMPHONIQUE)
Un double concerto comme celui de Brahms peut facilement tourner au concours. Même involontairement un soliste peut écraser l’autre par la puissance de son jeu ou la force de son expression. La violoniste Alexandra Soumm fait une carrière internationale tandis qu’Aurélienne Brauner a choisi d’être violoncelle solo de l’ONBA : ce sont deux métiers différents. Pourtant elles montrent exactement la même virtuosité, le même engagement, le même lyrisme, la même écoute mutuelle. Leur dialogue est un bonheur permanent et leur complicité parvient à rendre captivante les Variations très convenues d’Halvorsen sur la Passacaille de Haendel.
L’ayant entendue chanter Schumann, on savait que Nathalie Stutzmann avait un tempérament romantique, mais on ignorait comment elle pouvait le transmettre sans la voix. Voir sa main gauche voler, caresser, malaxer, fouiller dans l’Andante de la 2ème symphonie de Brahms ferait comprendre le message du compositeur à un sourd. La chose est sûre : Nathalie Stutzmann est un grand chef !
François Clairant
(Concert les 30 et 31 mars 2017 à l’Auditorium de Bordeaux, le 2 avril 2017 à l’Olympia d’Arcachon. Article paru le 31 avril 2017 dans Sud Ouest)
AURÉLIENNE BRAUNER, LE VIOLONCELLE OU LA VIE
PORTRAIT La violoncelliste Aurélienne Brauner est la plus jeune recrue de l’ONBA.
Elle sera soliste du concert de dimanche dans le Concerto pour violoncelle de Haydn.
Violoncelle solo d’un orchestre national est un poste prestigieux. Celui de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine est longtemps resté vacant, faute de prétendants à la hauteur. Le recrutement, l’année dernière, d’Aurélienne Bauner est une très bonne nouvelle pour les mélomanes et une fierté pour Bordeaux : c’est ici qu’elle a appris le violoncelle.
Le gambiste Paul Rousseau fut son premier professeur à Léognan. « Chose étonnante, se souvient-il, Aurélienne a peu avancé la première année. Elle était peu loquace même un peu renfermée. Elle observait. Et puis, d’un coup, l’année suivante elle a eu un départ incroyable montrant une grande faculté d’assimilation. Elle apprenait un petit concerto dans la journée. Je n’ai jamais eu un élève comme elle : jouer semblait une nécessité viscérale.»
Mitslav Rostropovitch Fille d’un professeur à l’Université de Bordeaux, petite-fille de deux célèbres pédopsychiatres spécialistes des enfants victimes de la guerre, Aurélienne, née en 1984 est la septième d’une famille de neuf enfants. Musicienne prodigue, elle quitte Bordeaux a quinze ans pour le Conservatoire National Supérieur de Paris. « Après Paris, raconte Aurélienne de sa voix grave, je n’avais que 18 ans… J’ai préféré continuer mes études, notamment à Berlin pour approfondir la musique de chambre. » Elle retourne régulièrement en Gironde pour suivre entre autre une master-classe de la star du violoncelle, Mitslav Rostropovitch. « Il m’a dit que je jouais très bien et que j’étais jolie, se souvient-elle. Il faisait son numéro… mais c’était marquant quand même !»
Aurélienne jouera dimanche le Concerto pour violoncelle de Haydn, un « tube » de la musique classique. « Tous les violoncellistes ont un vécu avec ce Concerto, explique-t-elle amusée. Comme il est assez difficile c’est LA pièce qu’on joue aux concours de recrutement d’orchestre ! » Ca n’a pas loupé : c’est avec ce Concerto qu’elle a elle-même été prise à l’ONBA.
Depuis un an, Aurélienne prends ses marques dans son nouveau poste auquel sa formation l’a peu préparée. « C’est moins une question d’expérience que d’écoute et de réactivité », l’avait rassuré Etienne Péclard son ancien prof au Conservatoire de Bordeaux. « Le violoncelle solo est aussi chef de pupitre, analyse Aurélienne Brauner : c’est un travail d’équipe. » Aurélienne partage le poste avec un autre jeune violoncelliste, Alexis Descharmes. Tous deux cultivent un goût pour la nouveauté, en jouant ponctuellement avec l’ensemble Intercontemporain, spécialiste de la musique contemporaine. « Aurélienne possède une jeu très moderne, une vraie puissance, assure Paul Rousseau. Et en même temps, tout ce qu’elle fait est expressif. Quand elle est derrière son violoncelle, sa vie en dépend ».
Séverine Garnier
(Concert du dimanche 20 mars. Article paru le 15 mars 2016 dans Sud Ouest)
La Voix du Nord : Douai, le violoncelle et Beethoven à l'honneur
Mardi dernier, trois grands compositeurs étaient à l’honneur à l’auditorium du conservatoire. D’un côté, Stravinsky, Haydn et Beethoven ; de l’autre, l’Orchestre de Douai emmené par son chef Philippe Bernold et Aurélienne Brauner, soliste de renom.
Bien soutenue par l’orchestre et quelquefois en solo complet, elle interprète avec un grand professionnalisme le Concerto pour violoncelle et orchestre nº 2 de Haydn. C’est la passion qui anime son jeu et qui lui fait oublier les spectateurs charmés par sa musique.
On pouvait croire la soirée terminée mais il restait, en deuxième partie, Beethoven et sa Symphonie nº 7 en la majeur. L’orchestre et son chef ont eu du mal à quitter la scène. Tous les musiciens sont à féliciter dont le groupe des violons emmené par Gautier Dooghe, la flûtiste Marie Leyval et le timbalier Marie-Claude Saniez.
(Concert du 24 mars 2015)
SUD-OUEST: LA LÉGENDE D'YSEULT à l'auditorium
LA LÉGENDE D'YSEULT (OPÉRA DE CHAMBRE)
Bien sûr, ce n’est pas la mer infinie de Wagner qui vous prend pendant quatre heures. Mais, même en réduisant considérablement « Tristan und Isolde » pour une soprano, un récitant et dix instrumentistes, Jean-Pierre Arnaud réussit à en restituer l’essence en une heure à peine. Les sombres couleurs d’amour et de mort y sont, sinon les plus chatoyantes. Les motifs fameux y sont aussi, plus aiguisés, plus « modernes », et que se partagent dix musiciens de l’ONBA. Leur concentration, leur conviction (bravo au violoncelle d’Aurélienne Brauner et au cor anglais de Dominique Descamps) empêchent que l’exercice tourne à la virtuosité gratuite.
Il manque malgré tout à cet opéra de chambre la puissance de la fable. Le livret de Vincent Figuri tient plutôt de l’abstraction, voire de la confusion quand s’y ajoutent des mots d’ancien français.
Il y manque surtout Tristan ! Même si l’esquisse d’un duo est ici conservée, même si le récitant (Jean-Pierre Arnaud lui-même) endosse quelques mots du héros en plus de ceux des autres personnages, voilà qui bride l’élan. Cela dit, de l’élan, Mireille Delunsch en a pour douze, capable de faire entendre la mort qui rôde dans les premières paroles de l’amour, capable de dire l’extase et de faire frémir le « Liebestod ».
Catherine Darfay
(Concert du 23 octobre 2014)
ResMusica : Festival de Syam 4-11 juillet 2014
PIERRE THILLOY FÊTE L’ARZEBAÏDJAN FASCINANT À SYAM
De jour en jour, on se familiarise avec des styles et des noms nouveaux. On se crée de nouvelles affinités. On est tétanisé par l’agilité virtuose et vitale de Stéphane Rougier que l’on retrouve presque chaque jour, par l’exactitude et l’émotion retenue d’Aurélienne Brauner, par la souplesse de Serge Sakharov.
Élisabeth Schneiter
SUD OUEST : MUSICAL' OCEAN Lacanau 28 août 2013
Pour ce premier concert, le directeur artistique François Salque avait selectionné quelques joyaux du répertoire classique, sans oublier la spectaculaire « Danse des elfes » de David Popper, magistralement jouée par Aurélienne Brauner.
Véronique Boscher
LE MONDE : Musiciennes à Ouessant 4-8 août 2013 Prodiges en rafales sur l'île aux femmes
LE "CANTABILE" D'AURÉLIENNE BRAUNER EST IRRÉSISTIBLE
Consacré au duo Luperca, le concert du matin propose deux sonates pour violoncelle et piano léguées par des maîtres du clavier. Celle de Chopin impose à l’instrument d’accompagnement une virtuosité de longue haleine mais concentre l’essentiel de sa séduction dans la partie chantante du violoncelle.
Ligne de crête d’une puissante intériorité, le « cantabile » d’Aurélienne Brauner est irrésistible. La lame de fond entretenue par Lorène de Ratuld ne l’est pas moins. Toutefois, les deux jeunes femmes paraissent encore plus complémentaires dans la Sonate de Charles-Valentin Alkan, qui confère au violoncelle le rôle de couvercle de la boîte de Pandore que figure le piano.
Tour à tour fauve et dompteur, Lorène de Ratuld équilibre savamment les énergies contraires d’un Final malicieux. L’on se demande alors si « Luperca » ne résulte pas de l’anagramme de « crapule »!
Pierre Gervasoni
Midi Libre : "Agir pour Bénarès" à Fabrezan (Aude)
Sensationnel duo d’artistes piano et violoncelle en la Chapelle de Notre Dame
Talent et vituosité se sont exprimés dans un programme aussi varié qu’inattendu. Lorène de Ratuld, pianiste et Aurélienne Brauner, violoncelliste, remarquables solistes, ont uni leurs talents pour constituer un duo merveilleusement complice pour le plus grand plaisir de tous.
Le programme était à la mesure de leur ambition de s’ouvrir à toutes les époques et de faire découvrir des musiques peu connues. Après une première partie où baroque et classique, Bach, Schubert, se sont succédés, elles nous font entendre des oeuvres beaucoup moins jouées, voire pratiquement inconnues, de deux compositrices de la fin du dix-neuvième siècle et de la première partie du vingtième : Rita Strohl et Nadia Boulanger. La sonate de Rita Strohl, qui concluait la deuxième partie et dont elles ont réalisé le premier et unique enregistrement, romantique et passionnée, a soulevé l’enthousiasme d’un public qui a décerné à ses interprètes une « Standing ovation ».
Suite aux incessants rappels l’oeuvre de Saint -Saens (en bis) a conclu cette soirée inoubliable, plaisir que nous souhaiterions vite retrouver.
Grâces soient rendues à Luperca, la louve romaine mère nourricière des jumeaux célèbres, d’avoir réuni ces deux belles musiciennes.
(Concert du 15 septembre 2012)
La Nouvelle République : Été musical des Douves 2012
Le duo Luperca a envoûté le public
Malgré une chaleur pesante, les amoureux de la belle musique étaient nombreux dimanche aux Douves, à l’ombre bienfaisante entre château et douves. Sébastien et Octavie Gresse accueillaient un talentueux duo de charme : Aurélienne Brauner au violoncelle et Lorène de Ratuld au piano. Sans l’action des maîtres des lieux et de l’association Les Arts d’Hélion, jamais Onzain n’aurait reçu des virtuoses d’une telle renommée. L’une et l’autre ont remporté des prix prestigieux, sont lauréates de grands concours internationaux, jouent aux côtés des plus grands interprètes dans les académies et festivals et se produisent souvent en solistes. Aurélienne joue un violoncelle de Nicolas François Vuillaume de 1859.
Pour ces habituées des vastes salles, ce public somme toute restreint, issu d’Onzain et des alentours, rassemblé en ce lieu intimiste représentait sans doute une expérience inédite.
Elles ont interprété avec coeur et talent des sonates pour violoncelle et piano de Bach, Brahms, Schubert et Fauré, ovationnées par un public totalement conquis.
(Concert du 19 août 2012)
Uppsala Nya Tidning : château d’Örbyhus (Suède)
Traduction de la critique du concert donné par le Duo Luperca le 12 juillet 2012 dans le cadre du Festival « Musik i Orangeriet » au château d’Örbyhus en Suède.
L’Ensemble qui donna un concert au château d’Örbyhus jeudi dernier, porte le nom fascinant de DUO LUPERCA, nom de la louve qui selon la légende sauva Romulus et Rémus en les nourissant de son lait. L’assurance et la sureté qui sauva la vie des jumeaux était palpable chez les deux remarquables jeunes musiciennes, la pianiste Lorène de Ratuld, et la violoncelliste Aurélienne Brauner ! L’entente entre elles deux était d’une précision, je dirais même d’une perfection que l’on observe rarement et qui fit la conquête du public. Il est rare d’entendre un toucher aussi clair et distinct comme celui de Lorène de Ratuld. Chaque note résonne avec clarté et le jeu de pédale est parfait. Aurélienne joue avec passion et une grande sensibilité. Apres la sonate de J.S. Bach en sol majeur, interprétée avec une technique parfaite mais peut-être un peu sèche, le contraste avec l’oeuvre suivante fut impressionnant. La sonate de Brahms en fa majeur op.99 fut jouée avec une force et une passion remarquables à couper le souffle du public ! Il y avait beaucoup de sentiment et une interprétation superbe. En deuxième partie, la sonate de Debussy en ré mineur fut donnée avec une interprétation exquise, nuancée, avec un rubato pittoresque dans les deux premiers mouvements et un final frénétiquement enlevé ! Quelques pièces romantiques de jeunesse de Sibelius suivirent, Romance et Rigaudon sur une mélodie pensive, puis le cantique op. 77 avec ses gracieux balancements du vioncelle. Le programme se terminait avec la Romance op. 69 et Papillon op. 77 de Gabriel Fauré, où la virtuosité d’Aurélienne avec son violoncelle atteignit les plus hauts sommets ! Mais tout n’était pas fini ! Les rappels du public enthousiaste ne cessèrent qu’avec deux morceaux supplémentaires : tout d’abord un mouvement de la suite pour violoncelle op.16 de Saint-Saëns puis la Mélodie bien connue de Dvoràk. Per A F Åberg
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